Marc-Antoine a écrit:

Oui, alors là, on va dire que euh...
On était déjà dans l'approximatif dans mon post précédent, mais là on atteint des sommets !
En fait, si, il y a moyen, et sans calcul: 

Si un coin en bois (surtout s'il est fait avec une chute d'égobelage toute en aubier) se prend un coup de masse aussi vigoureux que celui décrit plus haut, il y a fort à parier que les 2,5 tonnes de l'impact font le faire éclater. Non seulement on salope le boulot, mais en plus un des fragments va se faire un malin plaisir de s'envoler et de venir    frapper avec précision votre cheville la plus exposée.
Bobo.

J'ai bon ou pas ?

En tous cas, c'est du vécu    , je l'ai déjà fait avec la chute de l'entaille sur une chandelle de frêne ( pour faire un coin de reprise).
C'est vrai que ce n'était pas malin car comme ça, les fibres sont placées de la plus mauvaise façon possible.


Mais comment donc faisaient les anciens avec leur matériel que l'on trouve maintenant archaïque ?

Marc-Antoine

salut marc antoine..........et les autres..! 

ben les anciens........et j en fait parti........utilisaient des coins en bois.........SEC 
si possible du bois dur......genre cytise.....ou frene sec .....ou syco......
moi je te parle pour abbattre des resineux........paceque pour du feuillu........un coin en fer; enfin faut faire attention, paceque si tu touches avec la chaine 
moi pour des bois penches en arriere et qu il faut relever.....deux coins genre plastique et un coin en fer.......et la masse...!
tu enfonce tes coins en plastique avant de facon a ce qu il soient toujours un peu plus avances que le coin en fer.......comme ca t as pas de risque de toucher la feraille....
et tu tapes les un apres les autres......et ca releve , t inquietes pas.....!.
avec un coin en fer et une masse ........tu souleves des montagnes...... 
a plus les copains.......